À partir des années 1920, il est influencé par le constructivisme russe.
Son nom dérive aussi du constructivisme russe des années 1920 dont il prend certaines de ses inspirations formelles.
Au XXe siècle la rue se plia à quelques rénovations limitées en styles Art nouveau et Constructivisme russe.
Il voyage en 1932 en Union soviétique, invité par un groupe d'intellectuels et d'artistes et découvre le Constructivisme russe.
Il éprouve aussi une certaine sympathie pour les crédos esthétiques du constructivisme russe et du groupe néerlandais De Stijl.
C'est à cette époque que sous l'impulsion de son professeur Gyorgy Kepes, il découvre le Bauhaus et le constructivisme russe et s'initie à l'esthétique moderniste.
Pourtant, lors de l'exposition, deux tendances dominent: un premier style influencé par le langage Art nouveau et un second dit moderne qui se distingue par un vocabulaire innovant, emprunté du cubisme et du constructivisme russe.
M. Dufrêne dit que «l'art de 1900 fut l'art du domaine de la fantaisie, celui de 1925 est du domaine de la raison.» Pourtant, lors de l'Exposition, deux tendances dominent: un premier style influencé par le langage de l'Art nouveau et un second dit «moderne» qui se distingue par un vocabulaire innovant, emprunté du cubisme et du constructivisme russe.